Particules fines, un poison atmosphérique

Dans les rapports sur les mesures de la qualité de l’air sur et autour de la plateforme aéroportuaire de Bâle-Mulhouse, l’impact du trafic aérien sur la pollution de l’air, et par conséquence sur notre santé, est systématiquement minimisé.
Voir les résultats de l’ASPA
En effet, la combustion du kérozène, carburant proche du Diesel, engendre des particules fines et ultra-fines, véritable poison pour nos poumons !
« Quelles que soient les concentrations de polluants dans l’atmosphère, il y a une incidence sur notre santé. » Thomas Bourdrel (radiologue strasbourgeois, signataire avec, notamment, Olivier Morel, cardiologue au Nouvel hôpital civil de Strasbourg, d’une nouvelle étude sur l’impact sanitaire de la pollution de l’air.)
Lire dans L’Alsace du 12.08.2017: Particules fines, poison atmospherique

Thomas Bourdrel, est radiologue et président-fondateur du collectif «Strasbourg respire», ayant lancé un appel signé par 120 médecins strasbourgeois
Lire : Pollution et sante, Dr Bourdrel octobre 2015.

Particules ultrafines
Une contribution de l’UFNASE ici.

Pour l’ADRA, la pollution atmosphérique générée par le transport aérien est à combattre au même titre que le bruit. Les enjeux sanitaires et environnementaux à long terme pour la population sont majeurs.

Kopenhagen, 2012 « La pollution de l’air dans les aéroports, solutions ».

Voir notre dossier sur les PUF, 2022.